
chez ≥ 85% des sujets âgés de 4 à 5 ans, chez ≥ 72% des sujets âgés de 7 à 8 ans, chez ≥ 60% des
sujets âgés de 12 à 13 ans et chez 53,7 % des sujets âgés de 14 à 15 ans. Par ailleurs, après une
primovaccination en 2 doses et une dose de rappel, des concentrations en anticorps séroprotecteurs
contre l’hépatite B ont été maintenues chez ≥ 48% des sujets âgés de 11 à 12 ans.
La mémoire immunologique contre l’hépatite B a été confirmée chez les enfants âgés de 4 à 15 ans.
Ces enfants avaient reçu dans l’enfance Infanrix hexa en primovaccination et en rappel, et lorsqu’une
dose supplémentaire de vaccin monovalent HBV était administrée, une immunité protectrice a été
observée chez au moins 93 % des sujets.
Immunogénicité chez les nourrissons et les enfants nés de mères vaccinées avec le dTca pendant la
grossesse
L'immunogénicité d'Infanrix hexa chez les nourrissons et les enfants nés de mères en bonne santé
vaccinées avec le dTca à 27-36 semaines de grossesse a été évaluée dans deux études cliniques.
Infanrix hexa a été co-administré avec un vaccin pneumococcique conjugué 13-valent aux nourrissons
à 2, 4 et 6 mois ou à 2, 3 et 4 mois dans le cadre du schema de primovaccination en trois
doses(n=241), ou à 3 et 5 mois ou à 2 et 4 mois dans le cadre du schéma de primovaccination en deux
doses (n=27) ; et aux mêmes nourrissons/enfants de 11 à 18 mois en dose de rappel (n=229).
Après la primovaccination et la vaccination de rappel, les données immunologiques n'ont pas montré
d'interférence cliniquement pertinente de la vaccination maternelle avec le dTca sur les réponses du
nourrisson et du jeune enfant à la diphtérie, au tétanos, à l'hépatite B, au poliovirus inactivé, à
l’Haemophilus influenzae type b ou aux antigènes pneumococciques.
Des concentrations d'anticorps plus faibles contre les antigènes de la coqueluche, après la
primovaccination (PT, FHA et PRN) et la vaccination de rappel (PT, FHA), ont été observées chez les
nourrissons et les jeunes enfants nés de mères vaccinées avec le dTca pendant la grossesse.
L'augmentation des concentrations d'anticorps anticoquelucheux avant le rappel et un mois après le
rappel était similaire pour les nourrissons et les jeunes enfants nés de mères vaccinées avec le dTca ou
avec un placebo, ce qui démontre une primovaccination efficace du système immunitaire. En l'absence
de corrélats de protection contre la coqueluche, la pertinence clinique de ces observations reste à
comprendre. Cependant, les données épidémiologiques actuelles sur la coqueluche, suite à la mise en
place de l'immunisation maternelle par le dTca, ne suggèrent pas de pertinence clinique de cette
interférence immunitaire.
Immunogénicité chez les prématurés
L’immunogénicité d’Infanrix hexa a été évaluée au cours de trois études incluant environ 300
prématurés (nés après une période de grossesse de 24 à 36 semaines) suite à un schéma de
primovaccination en 3 doses à 2, 4 et 6 mois. L’immunogénicité d’une dose de rappel administrée
entre 18 et 24 mois a été évaluée chez environ 200 prématurés.
Un mois après une primovaccination, au moins 98,7 % des sujets étaient séroprotégés contre la
diphtérie, le tétanos et les poliovirus de type 1 et 2 ; au moins 90,9 % avaient des taux d’anticorps
séroprotecteurs dirigés contre les antigènes hépatite B, PRP et poliovirus de type 3 ; et tous les sujets
étaient séropositifs pour les anticorps anti-FHA et anti-PRN tandis que 94,9 % étaient séropositifs
pour les anticorps anti-PT.
Un mois après la dose de rappel, au moins 98,4 % des sujets présentaient des taux d’anticorps
séroprotecteurs ou séropositifs dirigés contre chacun des antigènes vaccinaux, excepté contre PT (au
moins 96,8 %) et hépatite B (au moins 88,7 %). L’augmentation des concentrations en anticorps (de
15 à 235 fois) après la dose de rappel indique que les prématurés étaient correctement primovaccinés
pour l’ensemble des antigènes d’Infanrix hexa.