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1 092,12 (33,8) et 1 138,71 (38,2) pg/mL dans les groupes Parsabiv et cinacalcet. Les caractéristiques 
démographiques et autres caractéristiques initiales étaient similaires à celles des études contrôlées 
contre placebo. 
 
Parsabiv a été non inférieur au cinacalcet pour le critère d'évaluation principal et supérieur au 
cinacalcet pour les critères d’évaluation secondaires de la proportion de patients obtenant une 
diminution > 30 % du taux moyen de PTH par rapport aux valeurs initiales au cours de la PEE (68,2 % 
Parsabiv versus 57,7 % cinacalcet ; p = 0,004) et de la proportion de patients obtenant une diminution 
> 50 % du taux moyen de PTH par rapport aux valeurs initiales au cours de la PEE (52,4 % Parsabiv 
versus 40,2 % cinacalcet ; p = 0,001). Aucune différence statistiquement significative n’a été observée 
entre les deux groupes concernant le critère secondaire évaluant le nombre moyen de jours de 
vomissements ou de nausées par semaine au cours des 8 premières semaines. 
 
Étude de changement de traitement 
Les résultats d’une étude évaluant les variations des taux de calcémie corrigée lors du passage d’un 
traitement par cinacalcet à un traitement par Parsabiv ont montré que le traitement par Parsabiv, à la 
dose initiale de 5 mg, peut être instauré en toute sécurité 7 jours après l’arrêt du cinacalcet, sous 
réserve d'une calcémie corrigée ≥ 8,3 mg/dL (2,08 mmol/L). 
 
Étude d’extension en ouvert 
Une étude d’extension, à bras unique, de 52 semaines, des études contrôlées contre placebo et de 
changement de traitement décrites ci-dessus, a été menée afin de déterminer la sécurité et l’efficacité à 
long terme de Parsabiv chez 891 patients IRC hémodialysés atteints d’HPTS. Tous les patients ont 
reçu Parsabiv à la dose initiale de 5 mg 3 fois par semaine. La dose de Parsabiv pouvait être ajustée 
aux semaines 5, 9, 17, 25, 33, 41 et 49 jusqu’à une dose maximale de 15 mg afin d’obtenir un taux de 
PTH cible ≤ 300 pg/mL tout en maintenant les concentrations de Cac. 
 
A la fin des 52 semaines, aucune nouvelle donnée de sécurité n’a été observée et le maintien de 
l’efficacité de Parsabiv a été mis en évidence par une diminution du taux de PTH avant dialyse > 30 % 
par rapport à la valeur initiale chez 2/3 des patients. De plus, Parsabiv a diminué le taux de PTH avant 
dialyse à un taux ≤ 300 pg/mL chez plus de 50 % des patients et a diminué le taux moyen de PTH, 
Cac, Cac × P et phosphate par rapport aux valeurs initiales. 
 
Population pédiatrique 
 
L’Agence européenne des médicaments a différé l’obligation de soumettre les résultats d’études 
réalisées avec Parsabiv dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique pour le 
traitement de l’hyperparathyroïdie (voir rubrique 4.2 pour les informations concernant l’usage 
pédiatrique). 
 
5.2  Propriétés pharmacocinétiques 
 
Distribution 
 
Dans le modèle pharmacocinétique de population, le volume de distribution à l’état d'équilibre était 
d’environ 796 L. L’ételcalcétide est principalement lié à l’albumine plasmatique par une liaison 
covalente réversible. La liaison non covalente de l’ételcalcétide aux protéines plasmatiques est faible 
avec un ratio de fraction non liée de 0,53. Le rapport sang/plasma des concentrations de 
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C]-ételcalcétide est de 0,6 environ. 
 
Biotransformation 
 
L’ételcalcétide n’est pas métabolisé par les enzymes du CYP450. L’ételcalcétide est biotransformé 
dans le sang par une réaction d'échange réversible entre thiols endogènes et disulfure formant 
principalement un composé conjugué avec l’albumine sérique. L’exposition plasmatique des produits 
biotransformés a été 5 fois plus élevée environ que celle de l’ételcalcétide et l’évolution de leur