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Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. 
 
L’upadacitinib ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement. Une décision doit être prise : soit 
d’interrompre l’allaitement, soit d’interrompre le traitement avec l’upadacitinib, en tenant compte des 
avantages de l’allaitement pour l’enfant et du bénéfice du traitement pour la femme. 
 
Fertilité 
 
L’effet de l’upadacitinib sur la fertilité humaine n’a pas été évalué. Les études chez l’animal n’ont mis en 
évidence aucun effet sur la fertilité (voir rubrique 5.3). 
 
4.7 Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines 
 
L’upadacitinib peut avoir un effet mineur sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines 
car des sensations vertigineuses et des vertiges peuvent survenir pendant le traitement par RINVOQ (voir 
rubrique 4.8). 
 
4.8 Effets indésirables 
 
Résumé du profil de tolérance 
 
Dans les essais cliniques contrôlés par placebo pour la polyarthrite rhumatoïde, le rhumatisme psoriasique 
et la spondyloarthrite axiale, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥2 % des patients 
dans au moins une des indications avec le taux le plus élevé parmi les indications présentées) avec 
l’upadacitinib 15 mg ont été les infections des voies respiratoires supérieures (19,5 %), l’augmentation de 
la créatine phosphokinase (CPK) dans le sang (8,6 %), l’augmentation de l’alanine transaminase (4,3 %), 
les bronchites (3,9 %), les nausées (3,5 %), la neutropénie (2,8 %), la toux (2,2 %), l’augmentation de 
l’aspartate transaminase (2,2 %) et l’hypercholestérolémie (2,2 %). 
 
Dans les essais cliniques contrôlés par placebo pour la dermatite atopique, les effets indésirables les plus 
fréquemment rapportés (≥2 % des patients) avec l’upadacitinib 15 mg ou 30 mg ont été les infections des 
voies respiratoires supérieures (25,4 %), l’acné (15,1 %), l’herpès (8,4 %), les céphalées (6,3 %), 
l’augmentation de la créatine phosphokinase (CPK) dans le sang (5,5 %), la toux (3,2 %), la folliculite 
(3,2 %), les douleurs abdominales (2,9 %), les nausées (2,7 %), la neutropénie (2,3 %), la pyrexie (2,1 %) 
et la grippe (2,1 %). 
 
Dans les essais cliniques contrôlés par placebo dans la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn en 
traitement d'induction et d'entretien, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥ 3 % des 
patients) avec l’upadacitinib 45 mg, 30 mg ou 15 mg ont été les infections des voies respiratoires 
supérieures (19,9 %), la pyrexie (8,7 %), l’augmentation de la CPK dans le sang (7,6 %), l’anémie 
(7,4 %), les céphalées (6,6 %), l'acné (6,3 %), le zona (6,1 %), la neutropénie (6,0 %), le rash (5,2 %), la 
pneumonie (4,1 %), l'hypercholestérolémie (4,0 %), la bronchite (3,9 %), l’augmentation de l’aspartate 
aminotransférase (3,9 %), la fatigue (3,9 %), la folliculite (3,6 %), l’augmentation de l’alanine 
aminotransférase (3,5 %), l'herpès (3,2 %) et la grippe (3,2 %). 
 
Les effets indésirables graves les plus fréquents ont été les infections graves (voir rubrique 4.4). 
 
Le profil de tolérance de l’upadacitinib lors d’un traitement à long terme a été généralement similaire au 
profil de tolérance observé pendant la phase contrôlée par placebo dans l’ensemble des indications. 
 
Liste tabulée des effets indésirables 
 
La liste suivante d’effets indésirables est basée sur les études cliniques et sur l’expérience après 
commercialisation. La fréquence des effets indésirables listés ci-dessous est définie selon la convention 
suivante : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100). Les